Comment gérer sa comptabilité quand on est graphiste ou artiste auteur freelance ?
Aujourd’hui, je vous donne deux astuces pour gérer votre compta, et ce même si vous êtes nul en math, en tableur Excel et que vous détestez les chiffres à virgule.
Je suis à même de réaliser votre identité visuelle. Mais attention, pas de copié / collé avec moi !
Je ne fais que du sur-mesure et du logo aux petits oignons.
Je ne suis pas un adepte des générateurs ou de la réutilisation : vous aurez droit à du sur-mesure, grâce à un travail d’audit en amont, pour mieux répondre aux enjeux.
Oubliez la prestation de service : on travaille et on concrétise ensemble un logo adapté à la cible et aux produits.
Aux modes, je préfère le style : votre logo ne s’éclipsera pas au bout de deux ans… Il en mettra toujours plein la vue !
Grand passionné des internets, je vous aide à réaliser votre projet digital. Du conseil à l’intégration, en passant par la conception et le design, je suis votre homme !
Je ne bâtis pas de simples esthétiques, mais aussi des systèmes fonctionnels. J’ai les connaissances techniques pour prévoir toute problématique de développement.
Le public-cible mérite un design adapté, ce pourquoi j’effectue toujours un travail d’ergonomie en amont. Les templates, c’est pour les faibles.
Un référencement naturel réussi, c’est d’abord une intégration faite avec amour. Mon code est nickel afin que les robots Google le scannent sans problème.
S’il y a un domaine qui m’a poussé à travailler l’image, c’est bien la photo.
Graphiste de l’extrême et photographe de terrain, donnez-moi une mission et je vous ramènerai l’image tant attendue.
Le studio ne me suffit pas : ce que j’aime, c’est crapahuter et aller sur le terrain. En bon reporter, j’apprécie d’aller à la rencontre de cultures, d’équipes et de projets qui gagnent à être connus.
La photo est le reflet de mon regard sur une situation, un lieu, un environnement. Je travaille mes photographies comme des illustrations, afin qu’elles puissent partager un message, véhiculer une émotion.
Eh ouais, j’ai le goût du challenge ! Défis humains, professionnels ou même sportifs, qu’il neige, qu’il vente ou qu’il pleuve… par monts et par vaux, je suis l’homme de la situation !
J’oubliais, je suis aussi un doux utopiste et je crois au partage et à l’expression sur les internets. C’est pourquoi je tiens un blog où je poste des tutos et des astuces ;)
Aujourd’hui, je vous donne deux astuces pour gérer votre compta, et ce même si vous êtes nul en math, en tableur Excel et que vous détestez les chiffres à virgule.
Tu as envie de produire des vidéos avec un ratio ultra wide, un bokeh ovale et des flares tellement déconnés qu’ils en feraient pâlir Mickel Bay ? Il va falloir que tu te mettes à l’anamorphique.
L’actualité a été chargé ces derniers mois avec l’arrivée du 180-600 chez Nikon et du 150-500 chez Tamron.
Ajoutez à ça le 100-400 sorti l’année dernière, et ça nous donne 3 téléobjectifs qui se ressemblent pas mal et en choisir un, ben ça va être assez compliqué.
Pour vous aider, je vais faire passer une série de tests à ces trois optiques pour déterminer laquelle choisir.
Tamron continue de nous gâter en nous proposant un 150-500mm en gamme Z.
C’est un objectif taillé pour l’animalier, mais pas seulement, que j’ai pu testé dans les Alpes sur des bisons d’Europe et des cerfs ; mais aussi sur quelques oiseaux que je peux trouver pas très loin de chez moi.
Je teste aujourd’hui le 180-600 de Nikon en gamme Z. Que ce soit pour faire des photos animalières avec le brame des cerfs ; ou encore pour de la photo sportive ; j’ai décortiqué dans tous les sens cet objectif.
J’ai pu passer le mois dernier avec le 400mm 4.5 de Nikon en gamme Z. Je l’ai donc emmené un peu partout. Dans les Alpes, en Camargue mais aussi sur un circuit pendant le GP de France. Et on va voir ce qu’il a dans le ventre.